11.12.09

La triste chanson de la tristesse

"Mes bras n'obéissent point à ma tête; quel malheur. Pauvre de moi. Je m'en arrache les cheveux, bois des litres de liqueurs diverses, cours comme un fou le long des marges du Tage le soir venu, ingurgite des tonnes d'huile d'olive via des morceaux de pain trempés, mange autant de morue que je peux - rien n'y fait: mes bras n'obéissent point à ma tête. Que suis-je triste d'une si déplorable situation."

Sem comentários:

Enviar um comentário

Não prometo responder a todos os comentários, mas prometo que fico grato por todos.